« Les craintes de la filière sont réelles vis-à-vis
du Brexit. Les règles du jeu ne sont pas connues.
L’incertitude joue déjà sur les taux de change
et la dévaluation de la livre sterling
de 10 à 15 % depuis le vote correspond
aux marges du secteur. Ensuite, se pose
la question de la logistique, avec les douanes.
Mais les éviter en développant
le fret aérien serait trop coûteux. »
Richard Donnelly, responsable au sein du Bim
(agence de développement de la filière produits de la mer
en Irlande).