Les comptes d’IDmer sont de nouveau dans le vert à + 58 000 euros. Et même si le centre de recherche dépend encore de subventions, l’arrivée de nouveaux projets donne du baume au cœur à Alain Jolly, son responsable. Ainsi, IDmer fait partie des 35 partenaires européens du projet Seafood Tomorrow. À lui, avec des écoles hôtelières, de travailler sur des recettes industrialisables pour valoriser quatre espèces durables mais sous-consommées. En France, il s’agira du tacaud, du sprat, du chinchard et de la carpe. Ce projet apportera une manne de 250 000 euros à IDmer. En parallèle, IDmer espère intégrer – après le salon de Bruxelles ? – des prospects iraniens et vietnamiens dans son portefeuille clients, au même titre qu’il a accueilli Tiliz, spécialiste breton des mochis glacés. Avec le pôle Mer Bretagne, il travaillera à améliorer la conservation à bord des bateaux, et avec la région Bretagne, à valoriser les peptides de sardines. |