AU SOMMAIRE :
Cap sur la valorisation
Dynamiques importateurs
La tradition anime la transformation
La conchyliculture se diversifie dans l’anse de Carteau
Enquête de A-C. RENARD
EN RÉSUMÉ
Cap sur la valorisation Malgré une diminution des apports de poissons frais, les acteurs des produits de la mer ne baissent pas les bras et font en sorte de toujours valoriser davantage la production locale. Exemples avec, notamment, Beuron et les Fils de Pierre Esposito. De leur côté les importateurs restent dynamiques. Si le port de Marseille n’est plus aussi stratégique que dans le passé, les importateurs ne manquent pas d’initiatives et s’adaptent à la demande locale. À l’image de Mag Marseille. La tradition anime la transformation Peu nombreux dans les Bouches-du-Rhône, les transformateurs de produits de la mer travaillent le plus souvent dans le respect des traditions culinaires locales. Soupe de poisson, poutargue et autres spécialités sont autant d’occasion de valoriser produits et savoir-faire. Illustration avec les adhérents de Provence filière mer (Profilmer). |
Dynamiques importateurs Si le port de Marseille n’est plus aussi stratégique que dans le passé, les importateurs ne manquent pas d’initiatives et s’adaptent à la demande locale. À l’image de Mag Marseille. La conchyliculture se diversifie dans l’anse de Carteau Les adhérents de la Copaport, traditionnellement mytiliculteurs – leur production atteint les 2 000 à 3 000 tonnes par an –, misent aujourd’hui sur la diversification de leur activité et la valorisation pour pérenniser leur activité. Huîtres creuse et plate, pétoncle et saint-jacques, violet ou ormeau sont autant de pistes que les professionnels suivent de près. Comme pour Provence Aquaculture le travail sur la qualité sera une clé du succès. |