Ne s’appellera plus tarama qui veut. Désormais, il faudra suivre le code des usages. « Avec l’émergence de produits étiquetés tarama mais ne possédant pas plus de 10 % d’œufs de poisson, les professionnels ont voulu réagir pour éviter une course vers le bas », indique Philippe Droin, secrétaire général de la Confédération des industries de traitement…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.