Au moment où la population européenne se découvre massivement victime d'une fraude caractérisée dans le secteur de la viande bovine, Bruxelles annonce la réintroduction des PAT dans l'alimentation des poissons d'élevage. La méfiance des consommateurs en France et le refus de certains distributeurs posent la question complexe de la communication. Nos invités répondent.
Textes de B.VAUDOUR
Photos de T. NECTOUX
NOS INVITÉS
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Gilles Charpentier, "Je rappelle que le saumon est carnivore, bien qu'il consomme aujourd'hui plus de 75 % de protéines végétales" |
Éric Mezrich, "Demain, le problème des céréales génétiquement modifiées va se poser et tout le débat sur les PAT va prendre sa place" |
Étienne Balaÿ, "A nous de réfléchir sur la façon d'éduquer à travers la communication à court et moyen termes" |
Arnaud Chaperon, "L'interprofession ne souhaite pas lister d'informations négatives de type sans PAT, sans antibiotiques ou sans OGM" |
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Laurent Vichard, "En tant que distributeur pour le détail et la RHD, nous allons nous adapter aux exigences. Cela va créer des filières spécifiques à certains clients" |
Maria de Perlinghi, "En Norvège, le WWF soutient publiquement la réintroduction des produits d'animaux terrestres" |
Stéphane Ralite, "Insistons sur le développement durable et l'approvisionnement de protéines en Europe avec des PAT produites localement" |
Henri Lapeyrère, "Au Royaume-Uni, il y a beaucoup plus d'informations sur les produits dans les prospectus. En France, c'est le prix, le prix..." |
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Séverine Heyman, "L'aquaculture pourrait mettre en avant des arguments nutritionnels ou environnementaux. Quelque chose de simple mais percutant" |
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Découvrez la table ronde :
