L’an passé, la chute brutale de l’euro face au dollar a mis à mal les trésoreries des importateurs. Cet été, au gré des informations sur la crise grecque, l’économie chinoise…, les monnaies se sont mises à jouer au yo-yo. Pour garantir des marges, parer aux risques de change s’avère crucial, insistent Dominique Ceyrac, directeur…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.