En 2017, 8 000 tonnes de poissons ont été vendues sous les criées d’Occitanie. Des volumes en baisse, qui menacent leur équilibre. Pour autant, comme le souligne Didier Codorniou, président du Parlement de la mer d’Occitanie, « ces criées sont des outils qui permettent aux territoires d’exister et on ne peut imaginer que l’une disparaisse au bénéfice d’une autre. D’ailleurs, si Port-la-Nouvelle fermait, le bénéfice irait aux Espagnols ! Mais il faut mettre les criées en cohérence entre elles, pour donner aux pêcheurs de la souplesse dans leurs lieux de débarques ».
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