Saupiquet, Sapmer et CFTO (Compagnie française du thon océanique) donnent l’exemple en s’autolimitant à 200 DCP actifs par bateau, « là où les autres flottilles en utilisent parfois plus de 1000 », souligne Orthongel, organisation présidée par Yvon Riva. Dans le viseur, sans les nommer : les Espagnols. Or « leur usage excessif peut représenter un danger par rapport à la durabilité des stocks ». Ils conduisent ainsi à trop de prises accessoires et de captures de thon juvénile.
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