Mi-juin, le syndicat national de la restauration thématique et commerciale, auquel adhèrent, entre autres, Amarine, Léon de Bruxelles, Charlot roi des coquillages, s’est engagé dans la lutte contre le gaspillage alimentaire au côté du ministre délégué à l’Agroalimentaire. Objectif : diviser par deux ce gaspillage d’ici 2025.
Quel impact sur les produits de la mer ?
Les enseignes de restauration pourraient accepter plus facilement de valoriser les espèces aujourd’hui rejetées en mer. Mieux vaut les mettre dans une assiette que de les amener directement dans les circuits de valorisation de coproduits. Ces derniers font l’objet d’une étude menée par Jean-Pascal Berge, Penven Anais et Perez-Galvez Raul, disponible sur le site de l’Ifremer. Elle met en lumière les points qui permettent ou freinent l’optimisation de la valorisation de ces protéines marines.
Pour en savoir plus, lire l'étude de l'Archimer