AU SOMMAIRE :
La marée bio cherche encore sa voie
Coquillages : bio par nature
Les pionniers persistent
Aqualande, Oso et Gloria Maris
Bio ou responsable le choix des enseignes spécialisées
Biocoop et la vie Claire
Restauration collective : bio ou local
Sodexo et la cantine de Mouans-Sartoux
Dossier : A-C. RENARD
EN RÉSUMÉ
La marée bio cherche encore sa voie Les produits aquatiques biologiques soulèvent souvent des interrogations. Pas toujours faciles à vendre, ils doivent disposer de solides arguments pour séduire le consommateur. D’autant que celui-ci est attaché à l’image de maturalité que renvoie le produit sauvage. Et que l’importance de l’achat local se développe aussi, parfois au détriment du bio. Coquillages : bio par nature Naturels, les coquillages n’avaient qu’un pas à franchir pour obtenir le label bio. Si l’Irlande a devancé la France, celle-ci entend rapidement rattraper son retard. Ainsi, Médithau figure l’un parmi les pionniers de l’huître bio. Rejoint depuis par les professionnels de la moule. |
Biocoop, en toute transparence Qu’il s’agisse de poisson bio ou d’espèces sauvages sélectionnées selon des critères très stricts, le premier réseau de magasins bio en France exige une transparence totale. Celle-ci va du produit référencé au hommes qui l’ont pêché ou élevé. 100 % bio à Mouans-Sartoux Depuis 2012, les repas de la cantine de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) sont préparés à partir d’aliments 100 % bio. Pour le poisson, servi une fois par semaine, la commune s’approvisionne en pavés sans arêtes surgelés de saumon d’Irlande et de truite des Pyrénées. L’offre est complétée par des pavés de poisson sauvage surgelés (cabillaud et merlu) livrés par Pomona passion froid. Et Mouans-Sartoux e engager grâce au club Un plus bio. |