BRUXELLES, LES CLÉS DU GRAND EXPORT

Le 15/04/2014 à 15:34 par La Rédaction


AU SOMMAIRE :

Un salon vraiment global

Le grand export, une aventure qui se prépare

Limiter les risques, selon Jacques Person, directeur du groupe Beganton

Le casse-tête logistique…

Jouer la carte France

 

Dossier : C. CHEVRIER

 

 

(Each paper of this focus is translated in english at least partialy)

 

EN RÉSUMÉ

Les clés du grand export

Plus complexe que l’export, tenter l’aventure du grand export permet de s’affranchir d’une concurrence ardue et de tenter de dégager des marges plus importantes. Mais s’il existe des opportunités dans la majorité des pays dont la classe moyenne se développe, ces marchés sont plus faciles pour des produits haut de gamme, de luxes : huîtres, ormeaux, crustacés mais également la petite pêche côtière. Pour les produits transformés les labels ouvrent bien des portes.

« Tout faire seul, une illusion »

Attention cependant à bien calculer son prix, car le grand export coûte cher, et s'implanter exige plusieurs années d'effort. Il faudra étoffer son équipe avec des personnes parlant plusieurs langues et se structurer pour répondre rapidement aux demandes. Autant d’éléments qui font dire à Anne-Martel Reison, de EOC international que les entreprises doivent se faire accompagner sur le plan juridique, mais pas seulement.



 

Pour assurer ses marges, limiter les risques

Le conseil de Jacques Person, directeur du groupe Beganton est celui-là. Et cela  commence par s’assurer de la santé financière d'un client. Pour y parvenir, mieux vaut s’appuyer sur ses partenaires financiers, qui ont des réseaux dans les pays ciblés. Enfin, prendre des assurances crédits… est une bonne idée. Cela a un coût qui se réduit lorsqu’il n’y a pas de sinistre. D’autres outils existent.

Jouer la carte France

L’image de la gastronomie française est un plus. Alors revendiquer son origine France peut être un atout. Néanmoins, pour des questions réglementaires et commerciales, revoir ses packagings et ses étiquettes s’imposent. Cela dit, pour éviter certains déboires, il importe aussi de communiquer sur la façon française de consommer un produit, tel l’huître. Côté recette, une adaptation n’est pas toujours utile dans les circuits d’épiceries fines, pour la grande distribution mieux vaut être prêt à faire de légère modification.

Salon Seafood Global by pdmredac

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