AU SOMMAIRE :
L’IGP Marennes - Oléron en eaux troubles
« Au fond, on ne sait pas ce que veut le consommateur »
L’huître Nature et Progrès arrive sur les étals
Les marques jouent la nouveauté
Enquête : Loïc Fabrègues
EN RÉSUMÉ
L’IGP Marennes - Oléron en eaux troubles Appelé à se prononcer sur une affaire de vente d’huîtres irlandaises sous l’indication géographique protégée (IGP) Marennes - Oléron, le tribunal correctionnel de La Rochelle a relaxé sur ce point les ostréiculteurs incriminés. Pour la juridiction, le cahier des charges de l’appellation n’est pas conforme avec le droit européen. L’Institut national de l’origine et de la qualité (Inao) maintient, lui, que les règles de l’IGP sont toujours valables. « Au fond, on ne sait pas ce que veut le consommateur » Faut-il informer le consommateur sur l’origine des huîtres, d’écloserie ou née en mer ? Distinguer les triploïdes, aussi dites « des quatre saisons » ? Philippe Le Gal, président du Comité national de la conchyliculture (CNC), a décidé de lancer une large consultation sur la question de l’étiquetage des huîtres. Un travail où il attend que toutes les parties s’expriment. |
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L’huître Nature et Progrès arrive sur les étals L’huître fait son entrée dans les produits sous la mention Nature et Progrès. Le cahier des charges, élaboré en coopération avec l’association Ostréiculteur traditionnel, défend une huître née et élevée en mer. Les marques jouent la nouveauté À chacun son nom, sa recette, son concept. Quoi qu’il en soit, les marques s’imposent |
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