Entre la crise de la consommation et celle des apports, c’est toute la filière francilienne qui doit s’adapter, de Rungis aux poissonniers et restaurateurs. « Quand j’ai commencé ma carrière, il y avait plus de 70 grossistes au pavillon marée du MIN (marché d’intérêt national, NDLR) de Rungis. Aujourd’hui, ils sont moins de 20.…
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