Indépendante et tenace, l’Islande défend son capital poisson et l’accès à de nouvelles ressources. Quitte à s’octroyer une part du gâteau dans le cas du maquereau. Car chaque kilo débarqué contribue à la reprise. Après la profonde crise financière de 2008, les exportations de produits de la mer sont vitales en devises. En 2013, la France est devenue le second plus gros client des Islandais, avec un marché cible : le dos de cabillaud.