MAROC, LE CHANTIER DE LA MODERNISATION

Le 17/02/2011 à 9:50 par La Rédaction

AU SOMMAIRE :

Les grands travaux de la pêche marocaine

Quel potentiel aquacole ?

L'ONP, opérateur unique

Investir au Maroc

Conserveries : des liens à renforcer

 

 

Enquête de C. ASTRUC

 

 

 

EN RÉSUMÉ :

Les grands travaux de la pêche marocaine

Ambitieux et courageux, le plan Halieutis concerne tous les maillons de la filière pour valoriser les ressources encore abondantes du Maroc. Exploitation durable de la ressource, qualité et performance de la pêche et compétitivité de la filière sur le plan national et international, tels sont les trois axes du plan Halieutis.

Quel potentiel aquacole ?

Tout un pan de la stratégie Halieutis à l’horizon 2020 dépend du développement de la production aquacole de 500 tonnes aujourd’hui à 200 000 tonnes en 2020. Fantaisiste ? "Nos prévisions sont de 100 000 tonnes sur la conchyliculture et d'autant pour la pisciculture en 2020, notamment de la sole et du pagre", rappelle Zakia Driouich, directrice des Pêches.

 

Investir au Maroc

La mise en place du plan Halieutis offre aussi des opportunités aux transformateurs étrangers. Mais avant d’investir, mieux vaut nouer des liens. Pour développer sa compétitivité dans le secteur halieutique, le Maroc mise sur le développement de la transformation à terre.

Conserveries : des liens à renforcer

Le Maroc exporte pour près d’un milliard d’euros de produits de la mer. Sur cet ensemble, la France n’apparaît pas comme un débouché phare, notamment
comparé à l’Espagne. Celle-ci importe respectivement 59 et 56 % des produits de la mer congelés et frais du Maroc contre 2 et 1% pour l’Hexagone.

 

Dossier Maroc by pdmredac

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