NORVÈGE, LA QUÊTE DELA VALEUR AJOUTÉE

Le 25/02/2010 à 13:17 par La Rédaction

AU SOMMAIRE :

Saumon, la production à son top

Nordlaks, cas d'école

Partenaires promo sur le cabillaud

La recherche progresse

Trouver des marchés de niches

Focus sur les espèces rares

 

 

Reportage de C. ASTRUC

 

 

 

EN RÉSUMÉ :

Saumon, la production à son top

Plus que jamais incontournable pour s’approvisionner en salmo-salar, la Norvège ne peut pas compenser le vide laissé par le Chili sans risquer d’écorner son image de producteur soucieux de l’environnement. L’heure est donc à l’optimisation des infrastructures. Parmi les pistes explorées, émerge l’idée de transformer un peu plus le saumon en Norvège. L’essentiel des volumes exportés s’avère être du frais entier vidé.

Partenaires promo sur le cabillaud

Le retour des stocks de cabillaud dans la mer de Barents ravit les pêcheurs norvégiens. Reste à en valoriser l’origine. Pour s’en sortir, il faut « développer de la valeur ajoutée », insiste André Kristiansen, responsable de l’usine d’Aker Seafood à Melbu. Chez Aker Seafood, on mise sur la mise de filets sous vide en frais.

 

Trouver des marchés de niches

L’industrie des produits de la mer pèse lourd dans la balance commerciale norvégienne. Connue pour son saumon, son cabillaud et ses pélagiques, la Norvège a d’autres atouts dans ses manches qu’elle souhaiterait faire connaître : oursin, coquilles norvégiennes, des crabes royals vivants, des tourteaux. Valoriser l’oursin pourrait s’avérer aussi utile que lucratif à condition toutefois d’en garantir la qualité.

 

Dossier Norvège by pdmredac

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