SIGNES DE QUALITÉ, LE LABEL ROUGE SORT DU LOT

Le 14/06/2010 à 12:42 par La Rédaction

AU SOMMAIRE :

Dans le labyrinthe des labels

Quatre pistes de distinction

IGP, AOC... Patience exigée

L'hexagone délaisse les signes européens

Le label rouge sert de tremplin

La saint-jacques labellise à tour de bras

Le turbot labellisé résiste

 

Enquête de A-C. RENARD

 

 

EN RÉSUMÉ :

Dans le labyrinthe des labels

Les signes de qualité sont nombreux. Dans la tête des consommateurs, la distinction entre les labels privés et les signes officiels n’est pas clair.  Un logo se distingue : le Label Rouge, aussi plébiscité par les transformateurs. Ce ne sont pas moins de 780 signes de qualité qui sont enregistrés par la Commission européenne sur l’approvisionnement et la commercialisation des produits de la pêche et de l’aquaculture.

IGP, AOC... Patience exigée

Directeur de Normandie Fraîcheur Mer et vice-président d’Aqualabel, Arnauld Manner raconte le parcours du combattant pour obtenir une IGP ou une AOC. De quoi expliquer une partie du succès du Label Rouge.

 

Le label rouge sert de tremplin

Le ruban vermeil dope les ventes, rassure les enseignes en quête de sous-traitants. Mieux, il s’engage dans une démarche durable. « Signe de qualité transversal, il est compris par le consommateur », justifie Jean-François Feillet, directeur du développement durable de MerAlliance.

Le turbot labellisé résiste

Face à la crise économique et à la concurrence étrangère, le Label Rouge peut s’avérer utile. Le turbot d’élevage de l’Association Turbot Qualité en fait la preuve. Les quatre fermes de l’association Turbot Qualité représentent la majeure partie de la production aquacole française de turbot, dont les volumes se stabilisent autour des 550 à 600 tonnes par an.

 

Dossier Signes de qualité by pdmredac

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