Fin décembre 2013, la météo tempétueuse a fait s’envoler les prix des poissons, coquillages et crustacés. Une aubaine pour le pavillon de la volaille. Mais, sous le A4 les grossistes n’avaient pas besoin de cela. L’humeur, à dix jours de Noël est un peu morose, à l’opposé de celle de la nouvelle “avenue de la gastronomie”.
Et pour en savoir plus sur les dessous de la capitale, plongez-vous dans le dossier transformer dans l’écosystème parisien.
Retour en images, un diaporama de Lionel Flageul.